La Slovénie semble attirer de plus en plus d'élus bruxellois, tantôt pour la beauté des paysages ("Morgen spoor ik naar huis, zoals altijd met gemengde gevoelens. Brussel lonkt en Slovenië laat me niet los" - Elke Roex), tantôt pour y trouver de nouvelles idées sur le ramassage des poubelles.

Dans tous les cas, deux nouveaux mots clés ont fait leur apparition à Anderlecht : "Slovénie" (pour sa politique en matière de poubelles) et "impétrants" : ces raccordements gaz, eau, électricité, téléphone, télédistribution qui viennent compliquer l'implantation des poubelles enterrées intelligentes dans l'ensemble des quartiers de la Commune d'Anderlecht ou d'ailleurs (Schaerbeek et Bruxelles Ville semblent également s'intéresser à ce mode de collecte connectée directement à Bruxelles Propreté).

Selon, Fadila Laanan, "celles-ci seront enterrées prioritairement aux abords de logements collectifs ou de constructions nouvelles". Mais une première évaluation de la situation sur site est plutôt mitigée.

Rien de très original toutefois en regard du nombre grandissant d'articles et/ou de vidéos qui reprennent le même thème sur le net, en Belgique ou en France notamment.

D'où ces questions bien légitimes formulées par nos concitoyens : la Slovénie deviendrait-elle actuellement la nouvelle destination de voyage pour nos élus bruxellois qui souhaiteraient également infléchir la politique communale en matière de collecte des déchets en région bruxelloise ?

Quel est le coût de cette nouvelle politique en matière de collecte de déchets ? A combien se chiffre la maintenance d'un tel système ? Et enfin, si investissements il y a (ce qui est déjà le cas à Anderlecht), qui paiera la facture finale ?

A suivre.